Au Palais de la Porte Dorée, le Paris d’après-guerre attire la diaspora artistique

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CRITIQUE – De Télémaque à Arroyo en passant par Joan Mitchell, Le Palais de la Porte Dorée, à Paris, démontre que la capitale est restée bien vivante durant cette période, malgré la concurrence avec New York.
Paris, toujours capitale des artistes après la Seconde Guerre mondiale, sinon capitale des arts ? En tout cas, un point de convergence bien réel et vivant que ce « ville ouverte jusqu’à l’indifférence »selon Julien Alvard du magazine cimaise en 1955. « L’art parisien, dépourvu de style dominant, sans mécénat, sans musée d’art moderne fort, sans galeries puissantes, sans expositions significatives, est en état de faiblesse face à la concurrence croissante de New York et des autres capitales européennes », rappelle l’historien Jean-Paul Ameline, conservateur de « Paris et nulle part ailleurs » au Palais de la Porte Dorée. En contre-exemple, il cite la création de la Documenta à Kassel en 1955 et la montée de l’Allemagne sur la scène contemporaine. Et démontre l’attrait intact de la capitale en 24 artistes arrivés à Paris entre 1945 et 1972, de Télémaque l’Haïtien et Arroyo l’Espagnol à Erro l’Islandais et Joan Mitchell l’Américaine, de Zao Wou-ki le Chinois à Wifredo Lam le Cubain. …
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