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CRITIQUE – Le monde de Jeu des trônes est revisitée avec faste dans ce récit de luttes fratricides à la fois shakespearien, intimiste et bavard.

Trois ans après l’épilogue hué de Jeu des trônesHBO ramène en majesté l’univers de fantasy médiévale de George RR Martin avec Maison du Dragon. Et renforce la postérité de sa saga avec cette chronique shakespearienne et intimiste des luttes fratricides des ancêtres de Daenerys Targaryen, à découvrir sur OCS et sur MyCanal.

» LIRE AUSSI – Milly Alcock (Maison du Dragon) : « Son dragon définit le mieux Rhaenyra Targaryen »

Ce prologue, inspiré d’un autre roman de Martin, Feu et sang, commence 172 ans avant les événements de la série mère. Les Targaryen, qui gouvernent l’air avec leurs dragons, sont assis sur le Trône de Fer. Une prospérité mise à mal par le manque d’héritiers mâles. Le roi Viserys fut ainsi préféré à son cousin aîné par les pairs du royaume. Mais le trop conciliant Viserys (Paddy Considine) n’a qu’une fille, Rhaenyra (la redoutable Milly Alcock). C’est elle que le monarque désigne pour lui succéder. L’alternative – un frère guerrier et sadique répondant…

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