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Comme plusieurs groupes français, nos voisins ont également connu des déceptions sur le rachat de sociétés rachetées par la Chine.
Madrid
« Un nouvel Atlético est né à Pékin », accueilli en 2015 Marcale premier journal sportif espagnol. Le conglomérat chinois Wanda a ensuite acheté une participation de 20 % dans le club de football madrilène Atlético pour 45 millions d’euros. « C’est un rêve », alors proclamé le président du club, Enrique Cerezo. « Ce partenaire nous ouvre les portes du marché asiatique, nous aide à nous financer via des sponsors et des programmes de formation », a ajouté son directeur général, Gil Marin.
Hélas, surendettée et sommée par Pékin de remettre de l’ordre dans ses finances, Wanda se débarrasse trois ans plus tard de ses actions, vendues pour 50 millions d’euros à un actionnaire israélien. Du rêve chinois, il reste un mot. Le stade Metropolitano, inauguré en 2017, portera le nom de Wanda jusqu’en 2027.
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Le magazine Forbes en 2013 a classé Wang Jianlin, patron de Wanda, comme l’homme le plus riche de Chine continentale. Son projet, loin d’être le caprice isolé d’un milliardaire fantasque, s’inscrivait pourtant dans un contexte d’intérêt…
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