Politique

En rejoignant Renaissance, Renaud Muselier devient le premier « grand élu » du parti

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Emmanuel Macron et Renaud Muselier le 7 novembre 2022 à la COP27 en Egypte. LUDOVIC MARIN / AFP

En manque de relais locaux repérés depuis la défaite de Gérard Collomb à Lyon, le mouvement d’Emmanuel Macron veut faire du président de la région Paca le symbole d’unestablishment au travail.

Le parti présidentiel tient ses premiers « grands élus ». En manque de barons locaux dans ses rangs, Renaissance (ex-LREM) accueillera un nouveau membre début décembre : Renaud Muselier. L’ex-président LR de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur a annoncé mardi rejoindre le mouvement d’Emmanuel Macron et son bureau exécutif, après avoir soutenu le président-candidat lors de la dernière campagne présidentielle.

Désormais, Renaissance entend faire des Marseillais le symbole d’unestablishment au travail, et mis à mal depuis la défaite du puissant maire de Lyon, Gérard Collomb, sèchement battu par les écologistes aux élections municipales. Résultat, depuis le congrès fondateur de la rentrée de septembre, le patron du parti présidentiel, Stéphane Séjourné, n’a cessé de marteler son ambition : faire de sa formation le « parti le plus décentralisé du Ve République ».

L’eurodéputé sait qu’il part de très loin. Réputé verticaliste, l’ancêtre LREM a essuyé défaite sur défaite aux municipales intermédiaires…

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