Divertissement

« Il y a urgence à éditer les textes contemporains »

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« C’est agréable et confortable de n’être qu’un acteur. J’essaie d’être respectueux de la mise en scène, je ne prends aucune initiative, j’écoute, j’écoute, j’écoute… », raconte Jean-Luc Moreau. SEBASTIEN SORIANO/Le Figaro

MAINTENANCE – Le metteur en scène, qui compte cinq pièces à l’affiche, incarne au pied levé le rôle du père de Gaspard Proust dans vengeance demain, de Sébastien Thiéry au Théâtre Antoine à Paris. Rencontre avec un homme motivé par le travail.

Cette saison, Jean-Luc Moreau, 78 ans, signe pas moins de cinq mises en scène : vengeance demain, par Sébastien Thiery La Fantaisie (par Jean-François Cros), Un couple magique avec Stéphane Plaza (de Laurent Ruquier), inavouable d’Éric Assous, son complice disparu en 2020, et Le canapé, de Patrice Leconte. Egalement comédien, le marathonien de la planche a repris le rôle du père de Gaspard Proust dans la comédie de Sébastien Thiéry au Théâtre Antoine, qui devait être interprétée par Daniel Russo, blessé. Rendez-vous est pris dans un bistrot voisin. « La mort est le seul moment où nous nous reposons, il y a trop de responsabilités, de tracas, d’encombrement. Plus je vieillis, plus je travaille., soupire-t-il après un énième appel sur son portable. Puis, après réflexion : « Ça me maintient en forme ! » Une conversation décontractée.

LE FIGARO. – Ça vous a manqué de ne pas jouer ?

Jean-Luc Moreau. – Ce qui m’a manqué, c’est surtout de ne pas être dirigé. J’ai tout mis en scène…

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