l’avocat qui accompagne les victimes de dommages corporels | Titres d’aujourd’hui

Dommages corporels versus responsabilité médicale

Dès qu’on est confronté au corps médical, à la chirurgie ou au traitement médicamenteux, le risque de faute est toujours possible. Si la médecine a évolué et que ses défauts sont pour la plupart minimes, l’erreur est humaine et peut affecter un patient de près. Qu’il s’agisse d’une erreur médicale, d’un litige vaccinal, d’une infection nosocomiale ou d’un accident médical, les dommages subis lors d’une hospitalisation sont multiples.

Aujourd’hui, deux procédures permettent d’engager la responsabilité médicale : la saisine de la CCI, soit la Commission de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux, soit la voie judiciaire. Que l’on opte pour l’un ou l’autre, les procédures sont complexes, chronophages et sans garantie de succès pour le bénéfice de la victime. Dans un prisme plus large, les lésions corporelles peuvent dépasser le cadre de l’hôpital ; accidents de la circulation ou infractions. Se savoir accompagné et pris en main dans ces cas est donc primordial.

10 ans d’expérience en droit du dommage corporel

Spécialiste de la juridiction inhérente aux dommages corporels, Florence Bessy œuvre depuis plus de dix ans dans l’accompagnement des victimes. Avocat au barreau d’Agen, cet expert travaille dans la région Nouvelle-Aquitaine ainsi que dans toute la France. Très familiarisée avec les questions relatives à la responsabilité médicale, Florence Bessy exerce aussi bien en action dommageable qu’en action non fautive.

Que vous soyez victime d’une erreur dans le cadre d’une intervention chirurgicale, d’un aléa thérapeutique comme une infection nosocomiale, Florence Bessy traite de tous les sujets spécifiques aux dommages corporels. Mais si l’avocat maîtrise les procédures liées à la responsabilité médicale, elle n’oublie pas les accidents liés au corps de manière plus large. Elle transmet ainsi à ses clients un savoir-faire global, intégrant ainsi le dommage corporel dans sa globalité.

Le facilitateur de procédures judiciaires

Florence Bessy agit en tant que tiers de confiance. Il faut garder à l’esprit que lors d’un accident ou d’une faute médicale, la victime se trouve dans un état de vulnérabilité indéniable. Se lancer seul dans ce long chemin de poursuites judiciaires est donc particulièrement difficile. L’avocate tient ses clients par la main tout au long de la procédure.

Après avoir aidé la victime à récupérer son dossier médical à l’hôpital, elle l’oriente vers une procédure amiable ou judiciaire. S’ensuit alors un accompagnement de proximité lors d’expertises, de transactions avec des compagnies d’assurances au cours desquelles elle représente ladite victime, jusqu’à plaider sa cause devant le civil, l’administratif pénal ou encore la CCI ou la CIVI. S’ensuit alors la phase d’indemnisation où Florence Bessy intervient également auprès de la victime dans le suivi de ses demandes.

Un accompagnement vertueux et complet

Et c’est justement la proximité qui fait de Florence Bessy l’interlocuteur privilégié de ces démarches. Comme mentionné ci-dessus, lorsque le corps est touché, impacté et en douleur, il est essentiel de se sentir vraiment écouté ; rassuré et soutenu. Par son expérience, mais aussi sa personnalité, l’avocate crée une relation de confiance avec son client. Dans un secteur médical où certains acteurs tendent à déshumaniser la profession, les victimes collatérales ont plus que besoin d’un accompagnement humain auprès duquel adresser leur préjudice sans honte ni jugement.

Plus qu’une simple prise en charge de toutes les démarches liées à la procédure en cours, Florence Bessy aide la victime à se reconstruire. Les clients peuvent se tourner vers l’avocat à tout moment du processus ; directement après l’accident, quelques semaines ou mois plus tard, voire des années plus tard puisque la prescription n’entre en vigueur que 10 ans après la consolidation du dommage. En créant un cercle d’intimité où la victime peut se confier sans crainte, Florence Bessy parvient à allier la gestion d’une procédure judiciaire à l’indispensable soutien moral en cas de dommage corporel.