L’homme qui murmurait à l’oreille de Jean-Baptiste Poquelin

[ad_1]
CRITIQUE – Au Théâtre du Lucernaire, cette pièce raconte l’histoire d’un jeune garçon d’aujourd’hui qui se retrouve accidentellement plongé en 1656, dans la troupe de l’Illustre Théâtre. Un spectacle vivant et joyeux.
Paris, le 15 janvier 2022. Lorsque le timide Léo (Geoffrey Palisse) – étudiant en médecine et apprenti comédien – auditionne devant le réalisateur Charles (Grégoire Bourbier), il est pris de vertiges et se retrouve, la tête à l’envers, plein de rêves, plongé en 1656 au sein de la troupe de l’Illustre Théâtre de Molière, à Pézenas. Leo est fou de l’auteur de Tartuffe , il connaît ses moindres lignes sur le bout des doigts, autant dire qu’il se sent un peu chez lui avec Jean-Baptiste Poquelin. Léo a Molière dans le sang.
En toile de fond, une plate-forme circulaire en bois qui servira de remorque, de scène, de coulisses et d’autres choses. Embauché dans la troupe comme cuisinier, palefrenier, cocher, accessoiriste, Léo vit un étrange rêve éveillé d’autant plus – voyage dans le temps oblige ! – qu’il connaît la fin de l’histoire, mais qu’il veillera à ne pas la changer. Ainsi respire-t-il les vers de Molière avant même de les coucher sur le papier…
[ad_2]
lefigaro – divertissement