La chroniqueuse sexe du talk-show animé par Yann Barthès s’est amusée à décortiquer la morphologie de la nageuse de 22 ans qui a rougi plus d’une fois.
Lors des Jeux de Paris 2024, «J’ai senti la piscine vibrer»se souvient Léon Marchand ce lundi 30 septembre dans « Quotidien ». Et ce soir, il n’y avait pas que l’eau de la piscine qui frémissait pour le quadruple champion olympique de 22 ans.
“Le corps du nageur n’est pas seulement une performance sportive, c’est aussi quelque chose de bien plus sexy, une performance reproductive”précise Maïa Mazaurette dans sa chronique. Le spécialiste du sexe du talk-show animé par Yann Barthès a d’abord décortiqué les tenues de sport, qui diffèrent selon les disciplines. A son grand regret, seule la natation met encore le corps et sa peau à l’honneur.
Un idéal pour faire l’amour.
Maïa Mazaurette dans “Quotidien”
“Nous allons la laisser tranquille.”ironise Pablo Mira. Léon Marchand, de son côté, affiche déjà un sourire légèrement gêné qui ne cessera de figer poliment. « Les femmes sont inconsciemment attirées par les hommes capables de transmettre de bons gènes à leur progéniture »poursuit Maïa Mazaurette avant d’entamer la description d’un portrait-robot du « père parfait ».
Et c’est Léon Marchand qui sert de modèle d’illustration. « Reconnaissable à une forme en V ou en T. Épaules larges et hanches étroites. La natation développe les muscles des épaules et du haut du dos. Il génère donc cette fameuse silhouette. Ce qui fait du corps du nageur non seulement un idéal sportif, mais aussi un idéal pour faire l’amour.elle continue de se développer.
Maïa Mazaurette est lancée : “Les ondulations du bassin rappellent encore un peu l’acte sexuel”. Le public sur scène rit, le teint de l’athlète devient rouge. Quand la chroniqueuse compare son invité à un triton, version Jason Momoa dans Aquaman, Yann Barthès estime qu’elle “Je suis parti très loin”.