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Marie-Michèle Gagnon veut réaliser son rêve

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L’environnement de la skieuse Marie-Michèle Gagnon a été chamboulé durant l’intersaison.

Gagnon compte sur un nouvel entraîneur de vitesse, de nouveaux techniciens, sans oublier la nouvelle entraîneure-chef de l’équipe canadienne, Karin Harjo, qui est la première femme à occuper ce poste.

« Les changements font toujours peur au début, a reconnu le triple olympien, mais ça se passe bien. Mon nouveau coach de vitesse travaille avec Valérie [Grenier] Trois ans et ça se passe bien. Il a apporté de belles choses à Valérie qui est super forte en super-G. »

« Les changements sont positifs et l’objectif est de franchir la marche supplémentaire qui me sépare du podium en descente et d’être plus constant, de continuer la fierté de Lac-Etchemin. L’entraînement avec Valérie me pousse à m’améliorer et ça paie. Les explications de mon nouveau coach sont claires et simples, et je me retrouve dans une bonne situation. »

Gagnon est retourné au slalom géant lors de sa préparation. La skieuse de 33 ans n’a pas l’intention de prendre le départ d’une course en début de saison, mais elle estime que cela a été bénéfique pour l’entraînement.

Après une grave blessure à la jambe lors de ses débuts avec l’équipe nationale, Gagnon s’est tournée vers les épreuves techniques avant de revenir à la vitesse en 2019.

« Ça m’a permis de développer des aspects techniques qui me seront utiles dans les épreuves de vitesse, expliquait l’auteur d’un 8e place aux Jeux de Pékin en descente. Je veux être aussi performant en super-G qu’en descente. J’ai toujours gardé un pied en slalom géant car c’est la base du ski. C’est bien de s’être reconnecté. »

Motivation intacte

Ses différends avec Canada Alpin ont été résolus à la satisfaction des deux parties et Gagnon assure qu’elle a toujours le feu sacré. « La passion et la motivation sont toujours là à 100% », a-t-elle déclaré. Quant à mon avenir, je le prends un an à la fois et je ne veux pas voir trop loin devant. »

Craignant de devoir raccrocher ses planches en fin de saison dernière pour des raisons financières, Gagnon est satisfaite de l’entente conclue avec sa fédération.

« Notre accord est privé, mais je n’ai rien à redire », a-t-elle déclaré. Je suis reconnaissant et je parie sur un bon programme. Les athlètes se sont également impliqués dans des activités de financement et notre contribution est passée de 30 000 $ à 20 000 $, notamment grâce au don de 1,3 million de notre président Timothy Dattels qui veut aider les générations futures. de skieurs. »

Le don de Dattels est le plus important de l’histoire d’Alpine Canada.

De plus, avec la présentation des championnats du monde à Courchevel et Méribel en février, c’est une saison importante pour Gagnon. « C’est l’événement le plus important », dit-elle. J’espère aussi réaliser mon grand rêve d’obtenir mon premier podium en carrière en descente. »

Gagnon aura un vrai pincement au cœur lorsqu’elle s’élancera de la grille de départ de la Coupe du monde de Lake Louise du 2 au 4 décembre alors qu’un super-G et deux descentes sont au programme pour lancer la saison des compétitions de vitesse.

Une dernière à Lake Louise

Présente à Lake Louise depuis 1980, ce qui en fait la plus ancienne étape du circuit, la Coupe du monde ne sera pas de retour l’an prochain. Canada Alpin présentera plutôt une épreuve de slalom géant féminin à Mont-Tremblant.

« C’est difficile d’imaginer que Lake Louise ne sera plus au calendrier de la Coupe du monde, a dit Gagnon. Je suis triste, mais beaucoup de filles aussi. Les athlètes adorent Lake Louise. Je suis content d’être présent pour la dernière course. »

Gagnon comprend la décision d’Alpine Canada d’accueillir une épreuve de slalom géant féminin à domicile. « C’est normal puisque l’équipe technique est forte. C’est aussi une bonne chose que les épreuves de la Coupe du monde se déroulent dans l’Est du pays et pas seulement dans l’Ouest. »



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