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Quelles sont les technologies possibles pour décarboner le transport routier ?


Assemblage robotisé de batteries sur véhicules électriques. La batterie reste la seule option développée à l’échelle industrielle. Kittipong Jirasukhanont/phonlamaiphoto – stock.adobe.com

FOCUS – Trois options sont étudiées pour décarboner l’automobile.

L’objectif européen de mobilité « zéro émission » en 2035 exclut de facto les voitures hybrides (essence-électrique). Il écarte également les biocarburants, qui ne sont pas neutres en termes d’émissions de gaz à effet de serre ou de particules fines. Il ne reste donc que trois technologies…

Les piles

C’est pour l’instant la seule option développée à l’échelle industrielle : pour rouler, la voiture électrique à batterie n’émet ni polluants ni gaz à effet de serre, à condition qu’elle soit rechargée en électricité décarbonée (éolienne, solaire, hydraulique ou nucléaire). Son usage se généralise progressivement en France (13 % des immatriculations l’an dernier), tandis que le réseau de recharge s’étoffe, avec 83 000 bornes publiques installées fin 2022. Mais avant d’avoir fait ses premiers tours, le véhicule électrique aura émis bien plus que son équivalent thermique. 90% de son impact environnemental provient de sa fabrication, principalement de sa batterie : « Nous pourrions réduire cet impact de 40 %…

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