Ukraine-Russie : la dangereuse escalade

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Sept mois après le début de la guerre russo-ukrainienne, Vladimir Poutine lance une mobilisation partielle et menace de recourir à l’arme nucléaire « si les intérêts vitaux de la Russie étaient menacés ».
Alors que l’Assemblée générale de l’ONU se tient depuis mardi à New York, les événements s’accélèrent dans le conflit russo-ukrainien. Depuis une dizaine de jours, les troupes ukrainiennes ont réussi à reprendre du terrain à l’armée russe, qui a dû se redéployer en première ligne. Nous attendons une réponse de Moscou. C’est le maître du Kremlin qui en a défini les contours.
L’arme nucléaire
Mercredi 21 septembre, Vladimir Poutine a annoncé dans un bref discours, « la mobilisation partielle » des Russes en âge de combattre. Cela représente environ 300 000 hommes qui recevront une formation rapide.
Vladimir Poutine a déclaré que « le régime nazi de Kiev », soutenu financièrement et militairement par l’Occident, représentait une menace pour la Russie. Il a ajouté : « Si l’intégrité territoriale de notre pays [was] menacés, nous utiliserions certainement tous les moyens à notre disposition pour protéger la Russie et notre peuple…. Ceux qui nous font chanter avec des armes nucléaires doivent savoir que ce chantage peut se retourner contre eux.
Référendums
Cette escalade intervient au moment où un référendum se tiendra dans quatre provinces ukrainiennes les 23 et 27 septembre 2022 : les régions de Donetsk, Louhansk, Zaporijjia et Kherson. Vues de Moscou, ces provinces peuplées de pro-russes semblent tiraillées entre la Fédération de Russie et l’Ukraine. Pour Poutine, « ils ont le droit à l’autodétermination ».
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